Description
Monsieur Jour est un Français recruté par l’ancêtre du KGB, le NKVD en 1945. Chiffreur des Affaires étrangères françaises jusqu’à son départ à la retraite en 1982, il a offert à la Russie la totalité des informations diplomatiques échangées entre le Ministre et l’Élysée.
Pourquoi, aujourd’hui, décide-t-il de tout raconter à Carignac, un ancien chef de la DGSE qui l’avait éconduit en 1984 ? Pourquoi, pour qu’on écoute jusqu’au bout son histoire, a-t-il installé une bombe sale, mélange d’explosif classique et de matière nucléaire, dans le coffre d’une des voitures du parc automobile présidentiel ainsi que sa réplique au Kremlin ?
Le roman propose un plongeon dans les dossiers délicats des années 1980, sur ses morts suspectes et ses affaires, ses détournements de fonds et ses guerres intestines.
Il y a une logique dans la chronologie de l’histoire de monsieur Jour, elle s’appelle KGB jusqu’en 1990, FSB ensuite : elle conduit la politique de la France.
François Carignac et son adjoint Jean Lefort se retrouvent face à Vladimir Poutine et son éminence grise, Igor Grychine, l’inquiétant Conseiller. Ils combattront sur les terres de chasse du KGB et ranimeront les haines oubliées de la guerre froide.