Description
Paru en 1716, cet ouvrage est un classique de l’art de négocier, à l’origine de théories contemporaines de la diplomatie et de la négociation. Callières y propose sa conception sur le désordre du monde et sur le remède que la négociation peut lui apporter. Il décrit les qualités que doit posséder le sage et habile négociateur.
Bien que largement oubliée depuis sa publication, L’art de négocier… a récemment trouvé une seconde jeunesse des plus surprenantes. Traduit en anglais au début du xxe siècle, il devient un classique. Le livre n’est nullement considéré comme une source historique mais bien comme un manuel pouvant encore apporter des enseignements utiles auxdiplomates. Cette position se renforce encore en 1963 avec la publication d’une nouvelle édition qui met en valeur l’importance de la recherche de solutions équilibrées, de la négociation comme coopération et non comme compétition.
Le livre est ainsi peu à peu passé du monde de la diplomatie à celui de l’entreprise : il n’est pas rare qu’il figure au rayon «management» aux États-Unis et cet usage en a fait un classique international avec des traductions polonaise, portugaise ou japonaise. La destinée de l’œuvre est donc des plus originales.
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Paru en 1716, cet ouvrage est un classique de l’art de négocier, à l’origine de théories contemporaines de la diplomatie et de la négociation. Callières y propose sa conception sur le désordre du monde et sur le remède que la négociation peut lui apporter. Il décrit les qualités que doit posséder le sage et habile négociateur.
Bien que largement oubliée depuis sa publication, L’art de négocier… a récemment trouvé une seconde jeunesse des plus surprenantes. Traduit en anglais au début du xxe siècle, il devient un classique. Le livre n’est nullement considéré comme une source historique mais bien comme un manuel pouvant encore apporter des enseignements utiles auxdiplomates. Cette position se renforce encore en 1963 avec la publication d’une nouvelle édition qui met en valeur l’importance de la recherche de solutions équilibrées, de la négociation comme coopération et non comme compétition.
Le livre est ainsi peu à peu passé du monde de la diplomatie à celui de l’entreprise : il n’est pas rare qu’il figure au rayon «management» aux États-Unis et cet usage en a fait un classique international avec des traductions polonaise, portugaise ou japonaise. La destinée de l’œuvre est donc des plus originales.